samedi 19 mai 2012

Quelle est la valeur ajoutée du S.L.A.M pour un libraire d'ouvrages anciens ?


Je ne vous dirais pas qu'en me rasant le matin, je n'ai jamais pensé à rentrer au S.L.A.M ! (Syndicat de la librairie ancienne et moderne). Créé en 1914, il est l'une des plus anciennes associations de libraires de livres anciens au monde. Une de ses vocations est de faire connaître au public le monde du livre ancien. A cet égard, je me demande bien ce que vient faire le " M " dans le sigle…

Il est le seul représentant de la librairie ancienne en France. En dehors de ses actions pour la connaissance et la promotion du livre, comme le salon du Grand Palais à Paris, ses interventions débordent aussi vers les pouvoirs publics et les organismes privés. Je suis incapable de vous en dire plus sur ces interventions car je n'ai pas trouvé d'exemples sur le site. Le S.L.A.M regroupe près de 250 libraires, marchands d'autographes et d'estampes, dont la compétence et la probité sont attestées par des conditions d'admission difficiles*. Tous vous garantissent compétence et connaissance, authenticité des livres, manuscrits et autographes, honnêteté et professionnalisme, et de bons rapports commerciaux partout à travers le monde**.

Experts dans leurs domaines, ils assurent le maintien de la tradition bibliophilique et préparent la bibliophilie de demain. Ils sont le rouage essentiel de la connaissance et de la préservation du patrimoine. Ils vous conseillent dans vos achats ainsi que pour la valorisation ou la vente de votre bibliothèque. Leurs catalogues de vente sont également des outils bibliographiques précieux.

Je ne sais pas s’il existe un retour sur investissement quand un libraire fait partie du S.L.A.M ou si la cotisation vous fait rentrer dans une sorte de club-service, s’il existe un examen de passage, si les droits et les devoirs du professionnel sont jugés par ses pairs comme cela était le cas pour l’ordre des vétérinaires auquel j’appartenais, en fait !


Pour résumer, je voudrais savoir, si une demande d'admission me serait utile ou nécessaire pour progresser dans ce commerce***, car " assurer le maintien de la tradition bibliophilique, préparer la bibliophilie de demain, être le rouage de la préservation du patrimoine, conseiller, acheter une bibliothèque avec intégrité ou faire des catalogues " ne nécessitent pas d’appartenir au syndicat, en fait…


Je réalise que beaucoup de manifestations ne se font pas sous la haute autorité de ses membres et que les villages du livre n'ont pas de partenariat privilégié avec le syndicat. Quelle est donc la valeur ajoutée du S.L.A.M ? Cher lecteur, vous pouvez donc répondre à mes interrogations. Vous êtes peut-être membre, avez été membre, avez été accepté, avez refusé ou avez été écarté du S.L.A.M. Alors ? Il est évident que je pourrais téléphoner à la réceptionniste du syndicat pour connaitre le tarif de la cotisation mais j’ai peur que ce soit inélégant ;-)) Pierre

* Pourquoi difficile ? D’habitude, un syndicat cherche à étoffer le nombre de ses membres, non ?
** Et les autres, ils font quoi ?
*** En fait, et c’est tout à l’honneur du S.L.A.M, j’ai l’impression que l’adhésion est avant tout un adoubement et que l’aspect commercial n’est pas la priorité.

26 commentaires:

pascalmarty a dit…

Je ne fais ni n'ai fait partie du SLAM (et n'ai d'ailleurs aucune raison d'en faire partie), mais j'ai fait partie d'autres trucs et je vous recommanderais bien, cher Pierre, une technique que j'ai utilisée un certain nombre de fois. À moins que la cotisation ne soit proprement rédhibitoire et ne doive manger le peu de revenus que vous rapporte votre commerce, inscrivez-vous donc. Comme ça vous vous ferez une idée par vous-même, sans avoir à mettre en balance les pour et les contre que les uns et les autres ne manqueront pas de vous prodiguer. Et si, de votre propre point de vue ça ne vaut pas le coup à l'usage, il sera toujours temps de démissionner. Souvenez-vous qu'il est toujours plus facile de quitter un truc où il est très difficile d'entrer que, bien souvent d'en quitter d'autres où il est très facile d'entrer.

sebV a dit…

Vos interrogations recoupent les miennes Pierre.
Ayant un regard neuf sur le milieu, j'avoue qu'un "syndicat" fonctionnant par cooptation me laisse un peu songeur...

Anonyme a dit…

salut à toi Ami Pierre,
je souhaie apporter une précision concernant le "M" de SLAM
l'histoire est découpée en plusieurs époques:
Antiquité qui court jusqu'en 400 environ
Médiévale qui court depuis 400 jusqu'à 1492(découverte de l'Amérique) 1515 (Marignan) 1517 (Réforme)
Moderne depuis la même date jusqu'à la Révolution-Empire (1789 1815)
Contemporaine depuis

Le SLAM, en toute rigueur devrait s'appeler SLAMMC
Amitiés
Pierre-Yves MOSSE

Pierre a dit…

Pierre-Yves, voilà une première interrogation résolue ;-))

Je savais que je pouvais compter sur toi. Pierre

Hugues a dit…

Il a beaucoup été question des syndicats, SLAM et LILA sur le blog du bibliophile récemment. De mon point de vue, ces institutions sont utiles quand elles permettent d'organiser des évènements tels que le Salon du Grand Palais, mais je m'interroge sur leur évolution et leur capacité à faire face aux changements du monde, et sur le sens que peut revêtir pour un libraire l'appartenance à une organisation: Graal, reconnaissance des pairs, volonté d'en respecter la déontologie même face aux tentations? Il arrive que des librairies soient membres du SLAM par héritage, sans que le libraire actuel ne perçoive toujours le sens de cet engagement 25 ans après que son père n'ait été coopté ... puisqu'à mes yeux, c'est surtout un engagement de qualité et de déontologie.

Comme SebV je suis sceptique face au système très fermé de la cooptation, comme je suis sceptique face au respect de la charte de déontologie. Peut-on par exemple être exclu du SLAM, y-a-t-il des exemples?

Enfin, pour moi le SLAM est un peu la grande muette. Je trouve qu'il prend trop peu la parole et manque de dynamisme envers les jeunes populations de bibliophiles (cours, conférences, publications, etc.) même si je reconnais le mérite immense du Salon de Grand Palais et de sa volonté de rendre le livre et la bibliophilie plus grand public.

En résumé, une très belle institution donc, qui a fait du Salon du Grand Palais une réussite majeure, mais qui est un peu opaque et qui évolue peu.

Hugues
Je proposerais bien la création du SBAM! :)

Pierre a dit…

J'avais, bien évidemment, suivi le débat à propos de la charte de qualité au sein du SLAM et de la LILA sur le blog du bibliophile, Hugues. Il s'agit ici , en fait, d'un billet collatéral.

Assez bizarrement, en bien ou en mal, je crois qu'il est toujours profitable à une institution qu'on parle d'elle. Elle devient ainsi moins opaque. Certains libraires, qui n'ont pas toujours été tendres avec ce syndicat y sont entrés, néanmoins. C'est que les qualités de l'institution étaient prépondérantes par rapport aux défauts, j'imagine. Je ne savais pas, par contre, que l'on était nommé de père en fils ou de libraire à successeur. Voilà qui est un signe de confiance fort.

D'autres institutions séparent le "syndicat" qui est militant et "L'Ordre" qui est garant de la profession. C'est, peut-être le terme de syndicat qui porte à confusion ?

Ce qui est surprenant, ici, c'est de constater que l'entrée qui est faite par cooptation comme dans les club-services pose problème. Je peux vous assurer que si elle était obligatoire (et donc payante) pour les libraires, le tollé serait encore plus grand ;-)) Pierre

Anonyme a dit…

C'est comme aux scouts. On commence jeune libraire (Papoose) on évolue (Guerrier) et on finit par être totémisé et Sachem. A ce niveau de maturité professionnelle, La connaissance du livre, l'amour du métier, la tradition, le fait que tu fait partie du Clan te conduit à rejoindre tes pairs au SLAM, un jour ou l'autre. Dès que tu est reconnu Grand Guerrier ou Sachem, la cooptation ne pose aucun problème......

sebV a dit…

Oui sans aucune doute "anonyme", et donc la cooptation ça reste la meilleure façon pour une institution de se scléroser.
Mais est ce leur but d'évoluer ? Est ce que cette vénérable institution a vocation à être moderne et au service du bibliophile ? Je pense qu'ils ont choisi que non. Je pense qu'ils ont choisi de suivre l'évolution du marché (cf. étude de yohan) en tirant une poignée très haut et en laissant les autres se débrouiller avec leurs "drouilles sur ebay". C'est un choix stratégique plutôt pertinent, si on a les billes pour jouer...
Bref l'intérêt il est marchand (ça ne devrait pas être une surprise) et non bibliophile.
Pour faire vivre la bibliophilie telle que la vit 99% de ma clientèle, je pense qu'il faut se tourner ailleurs...

PS : Raisonnement de Papoose pas encore promu Sachem ? Peut être !
PPS : La meilleure façon de faire changer un système fermé c'est d'y rentrer !

Pierre a dit…

Merci, SebV, pour le post-scriptum qui démontre que le dialogue est ouvert. La remarque de Pascal en introduction était donc pertinente ! Pour ma part, je crois que le SLAM est tout, sauf marchand. Je crois même que, honneur mis à part, on peut y perdre de l'argent ;-))

On achète pas moins cher une bibliothèque parce qu'on est au Slam, je pense ? (ou alors, je signe tout de suite) Je crois que l'image qu'à donnée notre lecteur sur la promotion au mérite (Sachem) se tient. Un groupe élitiste se doit d'attirer des professionnels qui ont fait leurs preuves.

La solution serait alors la création d'un sas où tous les libraires pourraient entrer sur simple demande écrite au Slam-syndicat et qu’après une période probatoire à définir, un accueil puisse se faire pour entériner l'entrée au Slam-académie. Je vois bien cet intronisation sous forme d'un discours de présentation avec une réponse par le secrétaire perpétuel...

L'idée géniale serait de faire la cérémonie sous une coupole ;-)) Pierre

Patrik Troll a dit…

Voilà, tout est dit dans le mot "cooptation". Approché pour faire partie du Slam, j'ai systématiquement refusé car j'abomine leur système de cooptation qui signe la fermeture du réseau sur lui-même, qui exclue les non-soumis qui n'auraient pas fait allégeance à leurs bons maîtres...

Et je me réjouis chaque jour de camper cette position même si je n'en fais pas une publicité publique car, comme tous les réseaux, le Slam a une capacité de nuisance que je ne tiens nullement à mesurer.

Je m'en réjouis d'autant qu'il suffit de mettre en parallèle la liste des adhérents et les catalogues desdits adhérents pour constater que tous n'ont pas les compétences de leur prétention, et que certains adhérents ne sont pas même libraires, ce qui prouve, s'il le fallait encore, que la cooptation reste le pire des systèmes de sélection.

Mais que naisse une association qui regroupe les libraires sur des valeurs objectives, sur la qualité du travail, le mérite et l'honnêteté, sans cooptation ni esprit de réseau, et je serai le premier à y adhérer ou à passer avec joie un éventuel examen d'entrer.

En attendant, j'ai plutôt tendance à me méfier d'un confrère qui affiche le Slam sur ses cartes de visite, son site internet et la porte d'entrée de son magasin comme on arbore une légion d'honneur, distinction qui ne distingue plus rien ni personne, que la morale voulait jadis discrète et que les grossiers décorés d'aujourd'hui exhibent à chaque occasion que l'ordonne leur égo infatué.

Ai-je répondu à votre question ?

sebV a dit…

@Pierre: Je serai ravi que l'on me démontre que j'ai tort. Peut être les impressions que j'ai ne sont le fait que d'un système opaque et une communication faible ?
(Très déçu qu'ils ne soient pas intervenus sur le problème qu'a soulevé Hugues par exemple).
Ensuite il faut se détendre, on ne fait que vendre des livres! (comme disait Montaigne: aussi haut que soit le trône...) Un conseil de l'ordre ou une académie serait quand même outrageusement pompeux ;).

Le Slam arrive quand même à faire parler de lui au fond des cavernes, il y réveille les trolls ! :)

Pierre a dit…

C'est une excellente réponse, Patrik ! Vous êtes admis dans le cercle très fermé des commentateurs du blog ;-))

D'un tempérament moins radical, je suis de ceux qui croient que les honneurs se méritent la plupart du temps, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous puissiez exprimer votre idée (gros plagiat de Voltaire).

Il semblerait que ce soit la cooptation qui pose problème. La balle est donc dans le camp du Slam. De mon côté, je peux assurer, par expérience, que les associations, quelles qu'elles soient (rotary, francs-maçons, table ronde, clubs Weightwatchers, etc...), ont de plus en plus de mal à trouver des adhérents payants. Donc l'avenir nous sourit ! Pierre

Anonyme a dit…

Je suis curieux si un membre du SLAM va entrevenir cette fois.
Maintenant, il n' aurait qu' a répondre à une simple question.
Il n' y a pas question de critiquer un membre du SLAM.

Pierre a dit…

Je dois vous avouer que si le blog L.A.A.T jouit d'une bonne fréquentation d'amateurs bibliophiles, il pèche par l'absence de professionnels du circuit sur le plan des commentaires, c'est ainsi ! A leur décharge, ils ont d'autres chats à fouetter ;-))

Donc, vous pouvez éventuellement faire remonter l'information pour amorcer le dialogue. Je ne connais pas Monsieur Alain Nicolas, le président, mais nous nous sommes peut-être déjà croisés sur un marathon. Cela nous permettra d'engager la conversation ;-)) Pierre

Anonyme a dit…

Bonsoir,

Tout libraire ou bouquiniste peut rentrer au SLAM (il suffit de regarder la liste des membres), puisqu'en fait de cooptation il suffit de trouver soi-même 2 parrains déjà présents pour y être admis.

Le SLAM a même fait des campagnes courrier pour chercher des adhésions lors d'un passé peu lointain (avec comme but avoué le nerf de la guerre).

Donc la cooptation me fait doucement sourire puisque tout le monde peut en être.

Après pour être refusé il suffit du veto d'un des syndiqués ce qui a ma connaissance n'est jamais arrivé (ça a failli mais finalement non).

Après le principal avantage du SLAM est de pouvoir participer à son salon et ceux de la LILA pour l'étranger, et/ou de rassurer les clients étrangers lors des ventes à distance (c'est mon cas).

Le SLAM permet aussi de régler les problèmes entre libraires également: impayés, retours...

C'est peu j'en convient, mais la cotisation annuelle ne permet pas grand chose de plus.

Quand au problème soulevé par sur un "Divina proportione" il relève plus de la LILA que du SLAM le libraire concerné étant italien.

Vincent P.

Pierre a dit…

Voilà qui me conforte dans mon idée première. Nous connaissons tous deux ou trois libraires du Slam. Il suffit de leur demander d'être nos parrains. Ils en seront vraisemblablement honorés si nous faisons notre boulot correctement.

La liste des libraires syndiqués est très facile à se procurer. Il suffit de trouver deux volontaires qui cautionnent tout nouvel arrivant sans pinailler et le tour est joué. Donc, hyper-facile de rentrer au Slam !

La vraie question reste donc : Pourquoi rentrer ? Vincent nous fournit ici quelques arguments intéressants. Avec la mondialisation des ventes par internet, avoir l’agrément du Slam est une garantie pour l'acheteur.

Vous savez presque tout maintenant. Le montant de la cotisation ? Je vous dis ça lundi ;-)) Pierre

Anonyme a dit…

Pour un absolument non-initié et parfaitement non-intéressé, c'est cette cooptation qui sonne en effet bien bizarre, comme une cérémonie d'intronisation déguisée, d'autant plus responsabilisante qu'elle est à la portée de n'importe qui. Pour rentrer chez les Templiers il suffisait de cracher sur le Christ et d'accepter l'homosexualité avec les autres membres. Ce sont du moins les arguments accrochés par Philippe IV. Puisse le SLAM demeurer peu riche pour qu'un Philippe Gandillet IV ne s'y intéresse pas !
Peut-on sortir du SLAM en claquant la porte ?

Jean-Michel

Pierre a dit…

Très pertinente dernière question, Jean-Michel. Si des libraires sont partis en claquant la porte, c'est que l'ambiance était détestable. Si les gens restent, c'est que cela est profitable à l'impétrant !

Reste le risque de faire rentrer dans cette association, un individu de la trempe de Philippe Gandillet, le bel... De mon côté, appréhendant le pire, je l'ai exclu de ma librairie. Il ne faudrait pas qu'il rentre au Slam sous un pseudonyme ;-)) Pierre

Charles a dit…

Bonjour Pierre
Pourquoi pas. J'envisage de poser ma candidature en Belgique ne fut-ce que pour pouvoir pouvoir participer comme exposant aux grands Salons.
Bien à vous

Pierre a dit…

Cela semble un des avantages, le plus indéniable d'être au SLAM, Charles. Mais je crois vous avoir vu dans de beaux salons (Lourmarin) sans cette accréditation. Moi, je me dis que si Bertrand du B.M, qui est plutôt du genre iconoclaste, y est entré, c'est que le jeu en vaut la chandelle ;-)) Pierre

Librairie L'amour qui bouquine Livres Rares | Rare Books a dit…

Je vois bien que Pierre essaye par quelques pieds de mouche(s) ou d'escarmouches plutôt, de me tirer les verres du nez, mais il n'en sortira que de la ... bierre ...

Je suis rentré au SLAM ... (la suite de l'histoire s'écrit actuellement).

(sourire)

B.

sebV a dit…

Si il ne faut pas signer de son sang une clause de confidentialité je suis preneur des retours d'expérience de nos chers libraires-blogueurs (mes écrits sont toujours plus péremptoires que mes opinions!)

Olivier a dit…

Bonsoir à tous,
Je vais poser une question de béotien (non-libraire) mais : y-a-t-il un numerus clausus au SLAM? S'il n'y en a pas et que c'est simple d'y rentrer, la question posée par Pierre me semble relever de la seule envie de celui qui se pose la question.
Par contre, s'il n'y a pas de numerus clausus la question de la cooptation pose problème. On peut imaginer (même si c'est un peu traditionnel comme système sur le mode des guildes et des corporations) qu'avec un nombre limité de membres la cooptation puisse constituer un mode d'admission.
Sans numerus clausus (et avec transmission héréditaire si j'ai bien compris) c'est une mascarade.

Enfin ce que j'en dis,
Olivier

Unknown a dit…

Bonjour à Tous ! Pierre m'a demandé mon point de vue sur cet article, et comme ma réponse était un peu trop longue et ne rentrait pas dans la case des commentaires, il en a fait un article paru le vendredi 1 juin (http://livresanciens-tarascon.blogspot.fr/2012/06/un-membre-du-slam-nous-parle-du-slam.html)... Je ne sais pas si vous avez pu lire cette réponse, car seul SebV, que je remercie, a laissé un commentaire... C'est dommage, j'aurai bien aimé savoir ce qu'en pensait tous ceux qui se sont exprimés ici... Il n'est jamais trop tard :-)) Phil...

Pierre a dit…

Philippe,

Il en va du nombre des commentaires comme de beaucoup de choses sur ce blog : Du hasard, de l'opportunité, de la pudeur, des occupations professionnelles, des priorités qui n'en sont plus, des contraintes financières et familiales, de l'usure du temps...

Alors des fois, ça commente et des fois, ça commente pas ;-)) Pierre

Ce qui ne veut pas dire que le blog ne soit pas lu : 700 pages ouvertes hier...

Anonyme a dit…

@ Bertrand Hugonnard-Roche

Vous étiez rentré au SLAM, mais vous n'arborez plus le logo sur vos sites ? Est-ce simplement lié au nouveau positionnement de votre offre ? Si ce n'est indiscret, comment c'est écrit la suite de l'histoire ? Bien sur vous pouvez me servir un autre demi, mais ma soif ne sera épanchée !...

Un curieux libraire qui n'a toujours pas d'opinion tranchée sur être ou ne pas être au Slam et qui restera donc anonyme afin de ménager la chèvre et le sou.